mardi 5 janvier 2010
La méthode événementielle.
"Le système de la symétrie ou l'événementialisme" , version augmentée et restructurée de mon essai "Amina ou la force de la symétrie",La pensée Universelle, Paris, avril 1989.
Mohammed Hifad
1977/2007
Chapitre I.
On peut constater en se référant à sa vie ou à celle des autres que tout un ensemble de phénomènes qu’on a déjà vus, touchés, sentis, goûtés, en un mot, vécus, font de temps en temps surface provoqués, semble-t-il, par un objet extérieur, ou d’une manière interne, par un état d’âme donné. La théorie platonicienne parle de réminiscences selon laquelle, d’après la définition du Petit Robert, « toute connaissance est le souvenir d’un état antérieur où l’âme possédait une vue directe des idées .Selon Sainte Beuve des « souvenirs confus, vagues, incertains, involontaires ».En psychologie, elle est le retour à l’esprit d’une image non reconnue comme souvenir ».On parle aujourd’hui d’états modifiés de conscience. Ce qui intéresse en premier lieu ce propos, c’est le souvenir reconnu ou de préférence la situation ou les situations vécues dont quelques uns ou la totalité des éléments constitutifs , sont reconnus et nous font retrouver ceux d’autres situations, réellement vécues dans le passé proche ou lointain, d’une manière consciente ou inconsciente , si celles-ci par exemple remontent à la petite enfance ou étant des symétries de situations initiales vécues au sein de la mère ou encore des initiales vécues par un ancêtre , mort il y a longtemps .Mais nous allons nous intéresser ,au premier stade ,aux situations vécues par un individu pour déterminer les mécanismes qui régissent ces situations avant de passer à un deuxième stade réservé aux situations vécues par un grand nombre d’individus et celles de nos ancêtres que nous revivons ,d’une manière ou d’une autre ,au-delà de la vie d’un homme .Selon Diderot :« le stoïcisme, accord avec soi-même et avec le monde , résignation lucide au déterminisme universel , est une attitude digne de l’homme . ».Sur la mémoire, il tient, dans ses « éléments de psychologie. », des propos qui préfigurent ceux de Proust : il est persuadé que tout ce que nous avons une fois vu, entendu, connu, reste en nous à notre insu : chaque arbre d’une forêt, chaque grain de sable, d’un rivage, chaque voix, chaque cri, chaque air de musique. ». « Je vois actuellement, éveillé, toutes les forêts de la Westphalie, de la Prusse, de la Saxe et de la Pologne. Je les revois en rêve aussi fortement coloriées qu’elles le seraient dans un tableau de Vernet. Le sommeil m’a remis dans des concerts qui se sont exécutés derechef comme lorsque j’y étais ».Il reste « imprégné des
Images du « De natura rerum » de Lucrèce. Un mouvement permanent combine des amas de matière, jusqu’à ce qu’apparaissent « une symétrie passagère, un ordre momentané » (Diderot pp 646/644 Bordas littéraire).Dans ce propos nous considérons, que sur l’axe du temps, nous rencontrons des cycles de diamètres-temps différents, allant d’une année à dix années. Nous vivons des situations sur un point donné une première fois (A) puis sur un deuxième point (A’),son symétrique, et qui constituent tous les deux les extrémités du diamètre-temps du cycle sur lequel s’est opérée la situation globale(=situation initiale + situation symétrique).Nous considérons ces deux points identiques et égaux comme les points d’un cercle .Sur le premier point se réalise la situation initiale due à ce qu’on appelle le hasard et , sur le deuxième point , se réalise la situation symétrique qui est fatale. Sur ce dernier ,qui n’est que le premier , abstraction faite de l’intervalle de temps qui les sépare, les éléments constitutifs d’une manière globale ou en partie, reviennent , qu’ils soient internes ou externes , concrets ou abstraits , ce qui rend momentanément les êtres et les choses extratemporels. Nous considérons que toute situation, vécue par un individu ou un groupe, connaît ces deux moments de son existence événementielle et qui ne forment qu’un seul grâce à cette force électrique, magnétique et gravitationnelle de ces cycles ou de nature encore inconnue. Ce que nous pouvons affirmer, c’est que cette symétrie vient compléter, s’opposer ou confirmer, équilibrer, purifier et annuler définitivement la situation initiale. Cette opération correspond à la réalisation d’une partie de notre mort événementielle constituée par l’ensemble de nos initiales plus l’ensemble de nos symétriques est égal à zéro et au retour au néant. Nous nous limiterons, en premier lieu, aux situations vécues par des agents vivants, donc au possible et au vérifiable, dont l’analyse permettra de dégager un certain nombre de principes. Une fois ces derniers établis, nous pouvons, par déduction, essayer de cerner ou d’éclaircir les situations les plus confuses à la lumière de ces principes déjà dégagés, ce qui nous permettra de vérifier simultanément leur objectivité.
L’apport nouveau ici est constitué par la définition d’un modèle de description, le plus objectif possible et sans aucun parti pris à priori, dans l’espoir de mettre un peu d’ordre dans le désordre, réel ou fictif de cet ensemble de phénomènes qui forment les maillons de la chaine de situations par lesquelles
nous passons durant notre vie .D’après Roland Barthes ( in « critique et vérité ») : le linguiste , « placé devant l’impossibilité de maîtriser toutes les
phrases d’une langue, accepte d’établir un modèle hypothétique de description à partir duquel il puisse expliquer comment sont engendrées les phrases d’une langue ».Nous nous trouvons devant une situation similaire, c’est-à-dire, devant également l’impossibilité de maîtriser les situations infinies par lesquelles nous passons durant notre vie, d’où la nécessité d’un modèle de description. On peut considérer la symétrie comme une sorte de « linguistique » des événements. Elle s’intéresse également à leur engendrement, à leurs mécanismes, leur structure profonde et superficielle, à leur prévision et à leur maîtrise sur le plan matériel et spirituel. Il s’agit là d’un domaine nouveau où l’objectif ne peut être que descriptif et exploratoire. Toujours selon le même auteur : « l’objectivité du critique tiendra non au choix du code, mais à la rigueur avec laquelle il appliquera à l’œuvre le modèle qu’il aura choisi . » .Notre objectivité consistera également à appliquer les principes dégagés de la description comparative d’un certain nombre de situations initiales et symétriques, isolées en système clos , reconnues dans la totalité de leurs éléments constitutifs, à d’autres situations apparentes ou confuses. Et chaque fois que nous rencontrerons un cas non identifié, ou qui ne vérifie pas l’un des principes déjà dégagés , nous prendrons le soin de la décrire et après la répétition d’un certain nombre du même cas , nous le formulerons en un nouveau principe , ou nous rectifierons un autre déjà existant en le lui incorporant .Nous avons entrepris la transcription de nos situations vécues depuis le mois du Ramadan de juillet 1978 , situation initiale de l’écriture de ce texte dont nous entamons la révision aujourd’hui mercredi 3 octobre 2007 ,le 20 ramadan 1428.Sa découverte a eu lieu le dimanche 3 avril 1977 lors de la situation symétrique de l’initiale du dimanche 4 avril 1976.Cette réécriture est nécessaire tant que toutes ses symétriques ne se sont pas toutes réalisées. Nous avons consigné par écrit, dans notre journal événementiel, les faits les plus marquants, au jour le jour, comme un journal de bord, ce qui n’est pas toujours facile avec l’enchevêtrement continuel de nos situations initiales et symétriques vécues par nous même et qui nous sont parfois complètement étrangères. Nous ne pouvons pas pénétrer les secrets de ces phénomènes sans l’existence d’une équipe pluridisciplinaire .Il y a les constituants physiques externes de la situation , notre corps, les objets concrets , le champ magnétique , l’électricité dans l’air , la gravitation , la carte du ciel , puis les éléments internes , nos sentiments , notre mémoire , nos pensées et tous nos états d’âmes du moment .Depuis que nous avons détecté pour la première fois ce phonème , nous nous sommes accroché à ce fait et ce n’est pas une tâche facile quand on a d’autres responsabilités qui prennent tout votre temps et vous laissent peu de
présence d’esprit pour vous apercevoir de ces répétitions qui passent presque inaperçues et sous divers déguisements. Par exemple , on sent qu’il s’agit d’une
symétrie, mais votre interlocuteur qui se trouve là au moment de sa réalisation incarne malgré lui un personnage absent de l’initiale, ce qui nous masque
momentanément ce retour ou il est simplement visionné à la manière de ces
vieillards qui semblent parler à eux-mêmes en s’adressant à haute voix à une personne morte il y a déjà longtemps .N’importe qui a déjà constaté que ceux qui sont en agonie revoient leurs proches déjà morts et discutent avec eux et on croit que ce n’est qu’un délire. C’est un phénomène réel : sous l’effet de la dynamique de la symétrie, la mémoire de l’agent principal de la symétrie voit les personnes à qui il parle même morts il y a déjà des années ou bien cette dynamique les faits vraiment revenir et ne sont perçus que par ce dernier. Le jour où nous percevrons les forces qui entrent en jeu dans ce phénomène, nous détiendrons le secret de cette fameuse machine à remonter le temps de la science fiction .Un individu donc ne peut s’éteindre qu’une fois que toutes ses symétries soient réalisées même par le visionnement forcé des éléments concrets de l’initiale .Les réactions des agents dans certaines situations, aussi étranges qu’elles nous paraissent, sont tout à fait ordinaires. On parle aussi de lapsus en psychanalyse, ce n’est qu’une superposition de situations initiales et symétriques. Les initiales maitrisées puisque l’agent est libre et une ou plusieurs situations symétriques qu’on a faites taire injustement dans leurs initiales et dans des situations identiques. La symétrie les fait ressortir à la manière du vin contre la volonté de l’agent principal. Ce dernier, comme s’il vivait un continuel dédoublement de personnalité, vit simultanément les initiales en toute liberté d’action et les symétriques d’une manière passive. On dirait que la folie serait une sorte de blocage événementiel au niveau des symétries, comme si les initiales inconscientes, n’existent plus que pour le corps et l’esprit est resté bloqué au niveau d’une ou de plusieurs symétries postérieures à la maladie. Au stade de ce modeste travail, on peut désormais déterminer les dates possibles des symétries et retrouver celles des initiales dans certains cas et dans d’autres on se contente de reconnaître la répétition par le retour des faits si les dates sont différentes. Si on arrive à créer un logiciel qui permettrait de gérer nos situations, tout un chacun aura la possibilité de prévoir le retour des événements à la manière des Mayas et du prophète Youssef(Joseph), non pas pour éviter des répétitions malheureuses mais au moins de les vivre en toute conscience pour que cela n’engendre pas d’autres initiales aux symétriques plus dramatiques à l’avenir. Notre incompréhension de ces phénomènes les rend plus complexes et terribles à revivre. Commençons d’abord par formuler nos principes :
http://www.mediafire.com/?17w9dybkc6v1jhsMohammed Hifad
1977/2007
Chapitre I.
On peut constater en se référant à sa vie ou à celle des autres que tout un ensemble de phénomènes qu’on a déjà vus, touchés, sentis, goûtés, en un mot, vécus, font de temps en temps surface provoqués, semble-t-il, par un objet extérieur, ou d’une manière interne, par un état d’âme donné. La théorie platonicienne parle de réminiscences selon laquelle, d’après la définition du Petit Robert, « toute connaissance est le souvenir d’un état antérieur où l’âme possédait une vue directe des idées .Selon Sainte Beuve des « souvenirs confus, vagues, incertains, involontaires ».En psychologie, elle est le retour à l’esprit d’une image non reconnue comme souvenir ».On parle aujourd’hui d’états modifiés de conscience. Ce qui intéresse en premier lieu ce propos, c’est le souvenir reconnu ou de préférence la situation ou les situations vécues dont quelques uns ou la totalité des éléments constitutifs , sont reconnus et nous font retrouver ceux d’autres situations, réellement vécues dans le passé proche ou lointain, d’une manière consciente ou inconsciente , si celles-ci par exemple remontent à la petite enfance ou étant des symétries de situations initiales vécues au sein de la mère ou encore des initiales vécues par un ancêtre , mort il y a longtemps .Mais nous allons nous intéresser ,au premier stade ,aux situations vécues par un individu pour déterminer les mécanismes qui régissent ces situations avant de passer à un deuxième stade réservé aux situations vécues par un grand nombre d’individus et celles de nos ancêtres que nous revivons ,d’une manière ou d’une autre ,au-delà de la vie d’un homme .Selon Diderot :« le stoïcisme, accord avec soi-même et avec le monde , résignation lucide au déterminisme universel , est une attitude digne de l’homme . ».Sur la mémoire, il tient, dans ses « éléments de psychologie. », des propos qui préfigurent ceux de Proust : il est persuadé que tout ce que nous avons une fois vu, entendu, connu, reste en nous à notre insu : chaque arbre d’une forêt, chaque grain de sable, d’un rivage, chaque voix, chaque cri, chaque air de musique. ». « Je vois actuellement, éveillé, toutes les forêts de la Westphalie, de la Prusse, de la Saxe et de la Pologne. Je les revois en rêve aussi fortement coloriées qu’elles le seraient dans un tableau de Vernet. Le sommeil m’a remis dans des concerts qui se sont exécutés derechef comme lorsque j’y étais ».Il reste « imprégné des
Images du « De natura rerum » de Lucrèce. Un mouvement permanent combine des amas de matière, jusqu’à ce qu’apparaissent « une symétrie passagère, un ordre momentané » (Diderot pp 646/644 Bordas littéraire).Dans ce propos nous considérons, que sur l’axe du temps, nous rencontrons des cycles de diamètres-temps différents, allant d’une année à dix années. Nous vivons des situations sur un point donné une première fois (A) puis sur un deuxième point (A’),son symétrique, et qui constituent tous les deux les extrémités du diamètre-temps du cycle sur lequel s’est opérée la situation globale(=situation initiale + situation symétrique).Nous considérons ces deux points identiques et égaux comme les points d’un cercle .Sur le premier point se réalise la situation initiale due à ce qu’on appelle le hasard et , sur le deuxième point , se réalise la situation symétrique qui est fatale. Sur ce dernier ,qui n’est que le premier , abstraction faite de l’intervalle de temps qui les sépare, les éléments constitutifs d’une manière globale ou en partie, reviennent , qu’ils soient internes ou externes , concrets ou abstraits , ce qui rend momentanément les êtres et les choses extratemporels. Nous considérons que toute situation, vécue par un individu ou un groupe, connaît ces deux moments de son existence événementielle et qui ne forment qu’un seul grâce à cette force électrique, magnétique et gravitationnelle de ces cycles ou de nature encore inconnue. Ce que nous pouvons affirmer, c’est que cette symétrie vient compléter, s’opposer ou confirmer, équilibrer, purifier et annuler définitivement la situation initiale. Cette opération correspond à la réalisation d’une partie de notre mort événementielle constituée par l’ensemble de nos initiales plus l’ensemble de nos symétriques est égal à zéro et au retour au néant. Nous nous limiterons, en premier lieu, aux situations vécues par des agents vivants, donc au possible et au vérifiable, dont l’analyse permettra de dégager un certain nombre de principes. Une fois ces derniers établis, nous pouvons, par déduction, essayer de cerner ou d’éclaircir les situations les plus confuses à la lumière de ces principes déjà dégagés, ce qui nous permettra de vérifier simultanément leur objectivité.
L’apport nouveau ici est constitué par la définition d’un modèle de description, le plus objectif possible et sans aucun parti pris à priori, dans l’espoir de mettre un peu d’ordre dans le désordre, réel ou fictif de cet ensemble de phénomènes qui forment les maillons de la chaine de situations par lesquelles
nous passons durant notre vie .D’après Roland Barthes ( in « critique et vérité ») : le linguiste , « placé devant l’impossibilité de maîtriser toutes les
phrases d’une langue, accepte d’établir un modèle hypothétique de description à partir duquel il puisse expliquer comment sont engendrées les phrases d’une langue ».Nous nous trouvons devant une situation similaire, c’est-à-dire, devant également l’impossibilité de maîtriser les situations infinies par lesquelles nous passons durant notre vie, d’où la nécessité d’un modèle de description. On peut considérer la symétrie comme une sorte de « linguistique » des événements. Elle s’intéresse également à leur engendrement, à leurs mécanismes, leur structure profonde et superficielle, à leur prévision et à leur maîtrise sur le plan matériel et spirituel. Il s’agit là d’un domaine nouveau où l’objectif ne peut être que descriptif et exploratoire. Toujours selon le même auteur : « l’objectivité du critique tiendra non au choix du code, mais à la rigueur avec laquelle il appliquera à l’œuvre le modèle qu’il aura choisi . » .Notre objectivité consistera également à appliquer les principes dégagés de la description comparative d’un certain nombre de situations initiales et symétriques, isolées en système clos , reconnues dans la totalité de leurs éléments constitutifs, à d’autres situations apparentes ou confuses. Et chaque fois que nous rencontrerons un cas non identifié, ou qui ne vérifie pas l’un des principes déjà dégagés , nous prendrons le soin de la décrire et après la répétition d’un certain nombre du même cas , nous le formulerons en un nouveau principe , ou nous rectifierons un autre déjà existant en le lui incorporant .Nous avons entrepris la transcription de nos situations vécues depuis le mois du Ramadan de juillet 1978 , situation initiale de l’écriture de ce texte dont nous entamons la révision aujourd’hui mercredi 3 octobre 2007 ,le 20 ramadan 1428.Sa découverte a eu lieu le dimanche 3 avril 1977 lors de la situation symétrique de l’initiale du dimanche 4 avril 1976.Cette réécriture est nécessaire tant que toutes ses symétriques ne se sont pas toutes réalisées. Nous avons consigné par écrit, dans notre journal événementiel, les faits les plus marquants, au jour le jour, comme un journal de bord, ce qui n’est pas toujours facile avec l’enchevêtrement continuel de nos situations initiales et symétriques vécues par nous même et qui nous sont parfois complètement étrangères. Nous ne pouvons pas pénétrer les secrets de ces phénomènes sans l’existence d’une équipe pluridisciplinaire .Il y a les constituants physiques externes de la situation , notre corps, les objets concrets , le champ magnétique , l’électricité dans l’air , la gravitation , la carte du ciel , puis les éléments internes , nos sentiments , notre mémoire , nos pensées et tous nos états d’âmes du moment .Depuis que nous avons détecté pour la première fois ce phonème , nous nous sommes accroché à ce fait et ce n’est pas une tâche facile quand on a d’autres responsabilités qui prennent tout votre temps et vous laissent peu de
présence d’esprit pour vous apercevoir de ces répétitions qui passent presque inaperçues et sous divers déguisements. Par exemple , on sent qu’il s’agit d’une
symétrie, mais votre interlocuteur qui se trouve là au moment de sa réalisation incarne malgré lui un personnage absent de l’initiale, ce qui nous masque
momentanément ce retour ou il est simplement visionné à la manière de ces
vieillards qui semblent parler à eux-mêmes en s’adressant à haute voix à une personne morte il y a déjà longtemps .N’importe qui a déjà constaté que ceux qui sont en agonie revoient leurs proches déjà morts et discutent avec eux et on croit que ce n’est qu’un délire. C’est un phénomène réel : sous l’effet de la dynamique de la symétrie, la mémoire de l’agent principal de la symétrie voit les personnes à qui il parle même morts il y a déjà des années ou bien cette dynamique les faits vraiment revenir et ne sont perçus que par ce dernier. Le jour où nous percevrons les forces qui entrent en jeu dans ce phénomène, nous détiendrons le secret de cette fameuse machine à remonter le temps de la science fiction .Un individu donc ne peut s’éteindre qu’une fois que toutes ses symétries soient réalisées même par le visionnement forcé des éléments concrets de l’initiale .Les réactions des agents dans certaines situations, aussi étranges qu’elles nous paraissent, sont tout à fait ordinaires. On parle aussi de lapsus en psychanalyse, ce n’est qu’une superposition de situations initiales et symétriques. Les initiales maitrisées puisque l’agent est libre et une ou plusieurs situations symétriques qu’on a faites taire injustement dans leurs initiales et dans des situations identiques. La symétrie les fait ressortir à la manière du vin contre la volonté de l’agent principal. Ce dernier, comme s’il vivait un continuel dédoublement de personnalité, vit simultanément les initiales en toute liberté d’action et les symétriques d’une manière passive. On dirait que la folie serait une sorte de blocage événementiel au niveau des symétries, comme si les initiales inconscientes, n’existent plus que pour le corps et l’esprit est resté bloqué au niveau d’une ou de plusieurs symétries postérieures à la maladie. Au stade de ce modeste travail, on peut désormais déterminer les dates possibles des symétries et retrouver celles des initiales dans certains cas et dans d’autres on se contente de reconnaître la répétition par le retour des faits si les dates sont différentes. Si on arrive à créer un logiciel qui permettrait de gérer nos situations, tout un chacun aura la possibilité de prévoir le retour des événements à la manière des Mayas et du prophète Youssef(Joseph), non pas pour éviter des répétitions malheureuses mais au moins de les vivre en toute conscience pour que cela n’engendre pas d’autres initiales aux symétriques plus dramatiques à l’avenir. Notre incompréhension de ces phénomènes les rend plus complexes et terribles à revivre. Commençons d’abord par formuler nos principes :
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